Testament

Le notaire est le professionnel le mieux outillé pour vous conseiller dans la préparation de votre testament. Ses conseils vous permettront de bien comprendre les conséquences fiscales et juridiques de votre décès. Vous serez ainsi en mesure de faire les meilleurs choix possible pour vos proches. De plus, le testament notarié permet à vos proches d’éviter des frais et des délais importants suite à votre décès.

Les avantages d’un testament notarié :

1. Bien définir et exprimer vos dernières volontés

Le testament notarié vous assure un document fiable, sécuritaire et juridiquement valide. Vos volontés seront clairement exprimées et surtout compatibles avec la loi.

La protection de votre testament sera toujours assurée puisque le notaire a l’obligation de conserver l’original de votre testament dans un endroit sécuritaire. Vous aurez donc la certitude qu’il ne sera pas perdu, modifié ou détruit.

De plus, le notaire inscrira votre testament, sans en publier le contenu, au registre des dispositions de la Chambre des notaires. Ainsi, après votre décès, vos héritiers pourront facilement vérifier si vous aviez rédigé un testament notarié.

2. Économiser du temps, de l’argent et faciliter la vie de vos proches

Les conseils de votre notaire pourraient vous permettre de réduire considérablement l’impôt sur vos biens à votre décès.

De plus, le testament notarié est le seul testament qui n’a pas à être vérifié suite à votre décès.

Vous épargnerez donc à vos proches de devoir passer par un long processus de vérification devant le tribunal ou devant un notaire. Le processus de vérification de testament engendre souvent des délais importants pour régler la succession et des frais beaucoup plus élevés que ceux liés à la préparation d’un testament notarié.

3. Éviter de mauvaises surprises

Sans testament, c’est la loi qui décide.

Saviez-vous que sans testament :

• Votre conjoint de fait (non marié) n’hérite de rien, et ce, peu importe la durée de votre relation ou le fait que vous ayez des enfants ensemble.

• Votre époux n’hérite pas nécessairement de tous vos biens.

• Si vous être séparé, mais non divorcé, votre ancien époux sera considéré comme un héritier.

• Vos enfants pourraient se retrouver copropriétaires de vos biens avec votre époux ou conjoint.

• De plus, si vos enfants sont mineurs, la mise en place d’un régime de protection impliquant le curateur public pourrait être requise afin de gérer les biens reçus en héritage.